En 2018, BATIK International fête ses 20 ans ! Pour l’occasion, on a eu envie de vous faire (re)découvrir notre histoire et de vous immerger au coeur de nos actions !
L’association est née de la volonté d‘Isabelle Devaux et Catherine Mechkour-Di Maria qui souhaitaient mettre en oeuvre des projets de solidarité en lien avec leur pays d’origine (Laos pour Isabelle et Algérie pour Catherine).
Très sensibles aux questions d’ordre social, elles décident de créer leur propre association et de mettre leurs compétences au service des personnes en difficultés.
La notion d’échange entre la France et l’international s’impose comme une valeur structurante de l’association.
» Ce projet permettait aux jeunes diplômé.es français.es de bénéficier d’une expérience professionnelle de 6 mois au sein d’entreprises vietnamiennes.
» Première action de BATIK International en direction des immigré.e.s d’origine asiatique.
Volonté de favoriser une meilleure connaissance et une meilleure intégration de la communauté chinoise à Paris.
∴ Suite projet Patriarches (2007) ∴
» Travail sur la mémoire de l’immigration algérienne dans le but de faire émerger des projets solidaires entre la France et l’Algérie.
» Contribuer à la réinsertion sociale des femmes algériennes victimes de violences terroristes.
» Accompagner des femmes micro-entrepreneuses dans la création de leur activité.
De ce projet découlera en 2008 l’organisation du Premier Salon euro-méditerranéen de la microentreprise féminine – STRASBOURG, France.
» Recueillir les témoignages des migrant.e.s âgé.e.s vivant en Ile-de-France pour valoriser la diversité des parcours migratoires, sensibiliser les jeunes générations sur ces questions
» Valorisation du savoir-faire artisanal des femmes Hmong.
Permet d’initier des actions de sensibilisation en matière d’égalité femmes-hommes.
Continuité du projet FEM.
» Accompagnement des femmes à la recherche d’emploi et création d’activités génératrices de revenus, notamment dans des secteurs d’activité traditionnellement masculins.
BATIK International se saisit de l’approche genre et en fait une composante transversale de ces actions, permettant à chaque individu, qu’il soit homme ou femme, d’avoir les mêmes opportunités et les mêmes resscources pour mener à bien ses projets.
» Renforcer les capacités des acteurs de la société civile algérienne et leur permettre d’acquérir les bases du métier de formateurs.
∴ Suite projet SAARA (2017) ∴
» Mise en réseau d’acteurs publics et privés dans le 13ème arrondissement de Paris. Le but est de garantir l’accès aux droits des personnes âgées immigrées.
Continuité du projet GEPE
» Accompagnement à l’insertion socioéconomique des femmes.
Cette fois, il s’agissait d’impliquer les institutions et les entreprises locales pour les sensibiliser aux difficultés d’insertion des femmes.
∴ Suite projet COOPAEM (2016) ∴
» Améliorer les conditions de vie et de travail des jeunes ouvrières migrantes qui travaillent dans deux zones industrielles, en périphérie d’Hanoï.
» Projet permettant aux organisations franciliennes et méditerranéennes d’échanger sur leurs pratiques et leurs expériences d’accompagnement des femmes et de travailler sur les enjeux partagés de leurs territoires.
Continuité du projet SAWA.
» Tester un dispositif de mutualisation des ressources via la création d’entreprises collectives.
» Appuyer les acteurs de l’accompagnement des jeunes dans leur travail de sensibilisation, notamment en matière de lutte contre les préjugés et les discriminations liées aux migrations.
» Promouvoir le rôle des associations algériennes et favoriser leur intégration dans les dynamiques de concertations locales.